Who cares
about a Blue Bird's tune
L’oeuvre se présente comme une correspondance entre deux artistes pour qui le langage revêt une importance particulière. Les fragments d’enveloppes présentées en taille réelle, à la manière d’Emily Dickinson, accueillent de petits énoncés qui se lisent en parcelles, ceux-ci partant d’une citation de la poète tirée du livre The Gorgeous Nothings : « Who cares about a Blue Bird’s tune ». Du centre émanent des bribes manuscrites tracées sur l’enveloppe, choisie comme matière de l’œuvre parce qu’elle est à la fois un support et un contenant. La correspondance engendre une contrainte de collaboration, dictée par le temps que l’objet met à voyager entre St-Alphonse-Rodriguez et Montréal.
merci à Jade Boivin, Sylvie Cotton et à toute l'équipe de Vie des arts
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